Le service de la médecine du comportement animal est assuré par Dre Isabelle Bazin, diplômée de l’American College of Veterinary Behaviorists. Elle est une des rares vétérinaires spécialisées en médecine du comportement au Canada ! On peut comparer son travail à celui d’un psychiatre chez l’humain. Accompagnée de son équipe technique, elle saura aider les chiens, les chats et
les oiseaux présentant des troubles du comportement, que ce soit pour de l’anxiété de séparation, des phobies, des troubles compulsifs, de l’hyperactivité, des vocalisations excessives, etc.

Quand consulter en médecine du comportement animal?

  • Votre animal présente un trouble compulsif (tourne en rond, chasse des mouches imaginaires, lèche le plancher, gratte au sol, chasse les lumières, etc.)
  • Votre animal présente de l’anxiété en votre absence (destruction, vocalisations, malpropreté, etc.)
  • Votre animal a des peurs excessives qui ne s’atténue pas dans le temps ou se détériorent
  • Votre animal présente de l’agressivité
  • Votre animal est réactif aux gens, aux autres animaux, aux bruits ou autres
  • Votre animal est toujours alerte et n’arrive pas à bien se reposer
  • Votre animal présente de l’automutilation
  • Votre animal n’est pas propre dans la maison malgré vos efforts
  • Votre animal présente de nouveaux comportements inhabituels
  • Votre animal semble présenter des difficultés d’apprentissage
  • Vous avez travaillé avec un intervenant en éducation canine et vous remarquez peu d’amélioration

Si vous n’êtes pas certain de devoir consulter en médecine du comportement animal, il est possible de consulter votre vétérinaire afin de s’assurer qu’une problématique médicale sous-jacente n’est pas en cause.

Pour quelles espèces peut-on consulter le service de médecine du comportement animal?

Il est possible de consulter autant pour les chiens, les chats que les oiseaux.

En quoi consiste une consultation en médecine du comportement animal ?

Lors d’une consultation en médecine du comportement animal, nous évaluons le comportement de l’animal de manière détaillée dans les différents contextes. Nous évaluons autant les situations problématiques pour les propriétaires que celles qui semblent moins problématiques, mais qui peuvent tout de même influencer la qualité de vie de l’animal. Nous déterminons ainsi si l’animal présente une maladie comportementale ou non et s’il a besoin de médication pour l’aider à réapprendre des comportements plus normaux selon la situation. L’évaluation comprend donc une analyse des comportements décrits, mais aussi une analyse de l’animal pendant la consultation.

Après avoir récolté toutes les informations nécessaires, une thérapie comportementale est recommandée. Il s’agit d’exercices qui permettront une meilleure communication avec l’animal et qui lui permettra d’apprendre à agir différemment selon le contexte. Des ajustements environnementaux seront aussi proposés afin de prévenir ou diminuer les comportements indésirables. Une médication peut être aussi prescrite, dans certains cas, afin de permettre à l’animal d’apprendre de nouveaux comportements. Celle-ci devra être ajustée selon l’évolution de l’animal dans les semaines qui suivent la consultation initiale.

Nos conférences

Le service de médecine du comportement offre parfois des conférences à l’intention des propriétaires d’animaux de compagnie. 

Cliquez sur le bouton ci-dessous pour voir les dates de nos prochaines conférences.

Q&A

L’anxiété peut se définir comme l’anticipation d’un danger réel ou imaginaire. Celle-ci peut devenir une maladie mentale lorsque l’état d’alerte devient chronique ou exagéré pour le contexte. Vous avez bien lu! Vos animaux de compagnie peuvent, tout comme les humains, présenter de l’anxiété!

Les causes d’anxiété peuvent être multifactorielles. Elles incluent la génétique de l’animal, l’environnement dans lequel il vit ainsi que les expériences vécues depuis la naissance.

Lors de situations stressantes, il est possible que toute l’attention de votre animal soit utilisée afin de tenter de gérer cette situation. Il semblera donc ne pas vous entendre. On qualifie cet état d’esprit de «  mode urgence ». Pour lui apprendre de nouveaux comportements et l’aider à diminuer son anxiété, il faut d’abord s’assurer qu’il est en mesure de recevoir de l’information quand des personnes tentent d’entrer en contact avec lui. Dans certains cas, une médication ou un produit naturel peut être nécessaire afin de diminuer l’anxiété et le rendre plus réceptif à vous lors de situations stressantes.

La médication peut améliorer les capacités d’apprentissage de votre animal, mais la thérapie comportementale est essentielle à la bonne communication entre vous et votre compagnon ainsi qu’à son apprentissage de nouveaux comportements. Des changements environnementaux aideront aussi à la modification des comportements problématiques.

Un médecin vétérinaire généraliste a fait 5 années d’université pour devenir vétérinaire. La plupart des vétérinaires du Québec ont étudié à la faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal située à St-Hyacinthe. Certains vétérinaires généralistes ont aussi fait un internat, c’est-à-dire une année supplémentaire d’études passée dans un centre de références avec différents spécialistes afin de peaufiner leurs connaissances. En plus de l’internat, le vétérinaire spécialisé en médecine du comportement aura fait 3 ans d’études supplémentaires dans sa spécialité. Il aura vu des centaines de cas variés de toutes les espèces. Après la réussite d’un examen de spécialisation, ce vétérinaire est alors reconnu comme étant spécialiste de sa discipline, la médecine du comportement. Au Canada, nous n’avons que quelques spécialistes en médecine du comportement, dont Dre Isabelle Bazin, présente au centre vétérinaire Daubigny. Durant sa spécialité, elle a étudié les différentes maladies physiques affectant le comportement ainsi que les maladies mentales. Elle a étudié la panoplie de médications qu’il est possible de mettre en place pour les troubles du comportement ainsi que la théorie de l’apprentissage lui permettant de mettre en place des exercices chez ses patients. On peut comparer son travail à celui d’une psychiatre chez l’humain.

Votre entraîneur, éducateur ou intervenant en éducation canine influencera beaucoup le comportement de votre chien ainsi que votre relation avec ce dernier selon les méthodes utilisées. Il est important de prendre le temps de bien choisir cette personne afin que l’atteinte de vos objectifs se passe de manière agréable et positive, autant pour vous que pour votre chien.

Voici quelques conseils pour vous aider dans votre choix :

  • Évitez les promesses de résultats garantis: Étant donné la variabilité du comportement de chaque chien et les maladies du comportement qui existent, un intervenant consciencieux ne devrait jamais garantir des résultats précis à 100%.
  • Choisissez un intervenant qui utilise le renforcement positif : Le renforcement positif a pour but de motiver le chien à répéter un comportement désiré en utilisant quelque chose qui le motive comme de la nourriture ou du jeu. Nous arrivons ainsi à indiquer ce que nous attendons de notre chien de manière plus claire. Le renforcement positif assure ainsi une meilleure relation avec votre animal.
  • Éviter les intervenants qui utilisent des méthodes aversives : Les méthodes punitives se basent sur la peur, peuvent entraîner de l’anxiété et peuvent aussi endommager la relation que vous avez avec votre animal. Ainsi, nous vous encourageons à éviter les entraîneurs utilisant des punitions physiques ou stressantes pour votre chien (exemple: jets d’eau, objets bruyants, colliers ou machines à ultrasons, colliers à vibrations, colliers électriques, colliers étrangleurs, colliers à la citronnelle, etc.).
  • Choisissez un intervenant qualifié : Il existe de nombreuses formations pour les entraîneurs et il est important que ceux-ci se tiennent à jour par rapport à l’éducation des animaux et les meilleures techniques d’éducation (exemples d’accréditations reconnues : KPA CTP, IAABC, APDT, CCPDT, CBDC, CAAB, ACAAB, AABS). Choisissez un intervenant qui semble se tenir à jour au niveau de sa formation continue et qui connaît les techniques d’éducation récentes (exemple: clicker). Au Québec, le Regroupement Québécois des Intervenants en Éducation Canine est un groupe d’intervenants à favoriser puisqu’un examen des connaissances est exigé pour en faire partie.
  • Allez observer un cours : Avant de vous inscrire à un cours en groupe par exemple, demandez s’il vous est possible d’observer une séance. Vous pourrez ainsi voir de vos propres yeux si les informations indiquées sur Internet semblent justes et si les participants (humains et canins) semblent apprécier l’entraînement. Il est important de choisir un entraîneur avec qui vous et votre chien vous sentez confortables et qui démontre du respect pour les animaux qu’il entraîne ainsi que leurs humains.
  • Choisissez un bon professeur : Évitez les intervenants qui font tout le travail ou qui désirent garder votre chien en pension dans le but de le dresser. L’objectif de l’éducation est que vous puissiez bien communiquer avec votre chien et que vous développiez une bonne relation avec lui, et non pas qu’il obéisse bien à un entraîneur.
  • Choisissez un intervenant qui reconnaît ses limites : Un bon intervenant devrait pouvoir reconnaître un chien qui a un comportement différent de la majorité des autres chiens et devrait pouvoir vous référer à un vétérinaire au besoin. En effet, certains chiens souffrent de troubles du comportement et gagnent à être pris en charge par un médecin vétérinaire afin de recevoir une médication appropriée au besoin. De plus, le comportement peut être influencé par de la douleur ainsi que différentes maladies autres que comportementales qu’il est important de prendre en charge pour la santé de l’animal, autant physique que mentale.
  • Est-il possible de continuer à travailler avec un intervenant en éducation canine en parallèle au travail fait avec le service de médecine du comportement? Certainement! Nous favorisons les collaborations avec les intervenants puisqu’ils pourront vous aider sur le terrain avec votre animal. Avoir un entraîneur n’est pas obligatoire à la mise en place du plan de traitement, mais pourra certainement vous aider dans son application. L’important est que l’intervenant prenne connaissance du plan de traitement mis en place pour votre animal afin que nous nous dirigions tous dans la même direction!

Lorsqu’un chien protège une ressource, c’est souvent pour éviter de se la faire retirer et il peut alors démontrer des signaux corporels visant à faire reculer la menace qui approche. Le chien peut protéger de la nourriture, un os, un jouet, un endroit ou un objet volé par exemple. Il est plus rare de voir un animal protéger une personne. Protéger une ressource d’importance est normal pour un animal. L’intensité de ce comportement de protection peut varier en fonction de l’environnement de l’animal, de ses antécédents ainsi que de son état de santé physique et mental.

Il arrive que la protection de ressource devienne anormale lorsque celle-ci devient disproportionnée par rapport à la menace présente. Des agressions (morsures) peuvent alors survenir de la part du chien. Dans ce cas, il est préférable d’en discuter avec un entraineur qualifié ou de communiquer avec un membre de notre équipe afin que nous puissions vous guider dans un plan de traitement approprié à votre animal.

Mythe ou réalité?

Je dois enlever le bol de mon animal lorsqu’il mange ou je dois mettre ma main dans son bol pour éviter qu’il développe de la protection de ressource.

FAUX!

Ceci est bel et bien un mythe. Retirer le bol de nourriture de votre chien ou le déranger pendant qu’il mange fera en sorte qu’il associe votre présence avec le fait qu’il risque de perdre sa ressource. Il est alors normal de voir le chien cacher son bol lorsque vous passez près de lui, de le voir partir ailleurs avec son os pour éviter que vous lui enleviez ou de le voir présenter d’autres signes d’avertissement pour vous faire reculer (grognements, montrer les dents, etc.).

Vous feriez la même chose si une personne vous enlève toujours votre assiette ou pige toujours dans vos frites. Il se pourrait même que vous lui disiez d’arrêter. En revanche, les chiens ne peuvent pas nous le dire verbalement; ils utilisent donc d’autres moyens.

Quels sont les signes que mon chien fait de la protection de ressources?

Il se raidit lorsque vous ou un autre animal de la maison passe près de lui pendant qu’il mange ou joue avec son jouet.

Il fixe la personne ou l’autre animal de la maison lorsque celui-ci se déplace dans la maison lorsqu’il a accès à la ressource.

Il se couche ou s’accroupit près de l’objet en voyant la personne ou l’animal problématique à ses yeux.

Il couvre l’objet avec son corps ou ses pattes en ayant les oreilles vers l’arrière.

Il s’enfuit de la personne ou de l’animal avec l’objet.

Il détourne sa tête pour ne pas regarder dans la direction de la personne ou de l’animal tout en éloignant son corps de l’élément menaçant.

Il peut lever une de ses pattes dans les airs, bâiller et se lécher le nez à répétition.

Il peut aboyer, grogner, montrer les dents en couvrant son objet avec son corps ou en se mettant devant son objet.

Le chien pourrait également mordre la personne ou l’animal qui tente de prendre la ressource.

Lorsque la protection de ressources s’amplifie, l’animal présente des avertissements alors que la personne ou l’animal menaçant est à une plus grande distance de la ressource et les signes démontrés par le chien sont de plus en plus sévères.

  • Exemple #1 : Le chien peut grogner et montrer les dents alors que la personne ou l’autre animal passe à plusieurs mètres de lui.
  • Exemple #2 : Le chien peut poursuivre la personne ou l’animal semblant approcher de sa ressource.
  • Exemple #3 : Le chien peut mordre la personne ou l’animal alors que celui-ci n’approchait pas nécessairement la ressource.

Si votre chien démontre des morsures ou que la protection de ressource vous semble démesurée, il est préférable d’en discuter avec un entraineur qualifié ou de communiquer avec un membre de notre équipe afin que nous puissions vous guider dans un plan de traitement approprié à votre animal.

Quelques conseils pour prévenir la protection de ressource chez votre chien

Il est important de s’assurer que l’animal soit en bonne santé et qu’il a une alimentation balancée. En effet, tout inconfort peut influencer le comportement d’un animal.

Si vous avez plusieurs animaux à la maison, assurez-vous de les nourrir séparément dans des pièces différentes. Si cela est impossible, veuillez les nourrir en vous assurant que les bols de nourriture sont très loin les uns des autres. Vous pouvez également utiliser une barrière de bébé pour les séparer jusqu’à ce que les chiens terminent de manger.

Veuillez éviter des techniques d’entraînement inappropriées ou aversives.

  • Éviter d’enlever les jouets, les os ou d’autres objets de valeurs au chien régulièrement.
  • Éviter d’enlever la nourriture au chien pendant qu’il mange.
  • Éviter de reprendre les objets que le chien a volés sans faire d’échange avec lui.

Lorsque vous jouez avec votre chien, veuillez le laisser partir avec l’objet la majorité du temps. Par exemple, si vous tenez une corde et que votre chien tire l’autre côté, veuillez lâcher la corde pour terminer le jeu plutôt que lui retirer et la ranger pour terminer le jeu. Si vous devez ranger l’objet, faites un échange avec une friandise de valeur afin que votre chien laisse la corde volontairement. Cela permettra de diminuer les risques qu’il protège ce jouet puisqu’il ne perd pas toujours l’objet. Pendant le jeu, si vous tirez la corde hors de la bouche du chien, vous pouvez lui donner une friandise puis lui redonner l’objet. Le chien associera alors qu’il est positif que vous ayez l’objet, car non seulement il retrouve l’objet rapidement, mais il est également récompensé lorsque vous l’avez en mains.

Si vous devez passer près de votre chien lorsqu’il est près d’un objet de valeur, lancez-lui des friandises de loin sans interagir avec lui.

Si votre animal est à l’aise à ce que vous soyez près de lui lorsqu’il a une ressource à disposition, vous pouvez déposer des friandises près de lui ou dans son bol pour qu’il associe l’approche de la main de façon positive. Par la suite, vous pouvez lui donner des friandises dans votre main pendant qu’il mange ou qu’il est près de sa ressource. (Encore une fois, il est bien important de ne pas lui retirer sa ressource, même si vous approchez votre main!)

Veuillez éviter de poursuivre votre chien s’il s’éloigne de vous avec un objet. Cela peut être perçu comme une forme de jeu pour le chien et l’encourage à ne pas vous donner l’objet. Cela peut aussi être vu comme une menace et il pourrait éventuellement démontrer des signes d’agressivité pour protéger sa ressource.

Si vous devez reprendre un objet que votre chien à près de lui ou dans sa gueule, veuillez faire un échange avec lui.

  • Veuillez toujours échanger son jouet contre une friandise même s’il le donne facilement. Ainsi, il apprendra qu’il reçoit quelque chose de positif lorsque vous prenez un objet ou lorsqu’il vous donne un objet.
  • Pour faire un échange, montrez la friandise de haute valeur à votre chien dans votre main et laissez votre chien la manger lorsqu’il relâche l’objet.
  • Le fait de faire des échanges régulièrement avec le chien aide à diminuer les risques qu’il fasse de la protection de ressource.

N’hésitez pas à communiquer avec un des membres de notre équipe si votre chien démontre des signes d’agressivité qui semblent démesurés pour la situation alors que vous semblez agir de manière appropriée avec lui. Nous pourrons alors établir ensemble un plan de traitement approprié pour aider toute la famille!

Lors des situations non problématiques et pour apprendre des tours faciles à votre chien ou votre chat, vous pouvez lui donner ses croquettes régulières en tant que friandises s’il les aime. Vous trouverez ci-bas d’autres bonnes options à considérer pour les entrainements ou simplement gâter votre animal!

Nous vous conseillons de couper les friandises en petits morceaux pour pouvoir étirer le plaisir lors des entrainements!

Voici des idées de friandises souvent appréciées chez le chien :

  • Foie de bœuf lyophilisé
  • Saumon lyophilisé
  • Poulet lyophilisé
  • Fromage lyophilisé ou frais
  • Saucisse à hot dog
  • Croquettes de marque différente de la diète régulière
  • Beurre d’arachide
    • ATTENTION : Évitez le beurre d’arachides dit «léger», car le sucre y est souvent remplacé par le xylitol, un édulcorant toxique pour les chiens.
  • Nourriture en conserve
    • Peut être placée dans une petite pochette à collation pour faciliter le transport et l’entrainement ou peut être congelée dans des jouets interactifs (exemple : Kong)

Ces aliments sont globalement assez caloriques, veuillez les donner en petits morceaux et avec modération.

Voici des idées de friandises moins caloriques pour votre chien :

  • Légumes (concombre, courgette, carotte, poivron, haricot vert, brocoli, patate douce ou citrouille)
    • Vous pouvez les donner comme friandises ou en congeler dans un jouet interactif.
    • Attention : Les carottes et les patates douces sont plus caloriques que les autres légumes.
  • Fruit (fraise, framboise, bleuet, mûres, melon, mangue sans le noyau, banane)
    • ATTENTION: Les raisins sont toxiques pour le chien.
    • Faites une purée avec les fruits et congelez le tout dans un jouet interactif ou dans un petit plat. Vous pouvez aussi faire des glaçons de fruit et mettre un peu de beurre d’arachide dessus.
    • Les fruits sont souvent plus sucrés et donc plus caloriques que les légumes. Ils sont à donner avec modération.
  • Bouillon de poulet ou de bœuf SANS SEL congelé
    • Vous pouvez congeler le tout dans un bol ou dans un jouet interactif (type Kong par exemple) pour lui donner plus tard.
  • Glaçons
  • Galette de riz SANS SEL et SANS ASSAISONNEMENTS
  • Nourriture en conserve
    • Vous pouvez la mélanger avec de l’eau et la donner fraiche, la cuire en biscuits ou la congeler dans des jouets interactifs.
  • Friandises liquides en tube pour chat (exemple : Creamy de Catit)

Voici des idées de friandises populaires pour les chats :

  • Poulet lyophilisé
  • Saumon lyophilisé
  • Crevette lyophilisée
  • Friandises à saveur d’herbe à chat, de viande, de poisson ou de fromage
  • Bâtonnet de viande (exemple : Petstory)
  • Friandises liquides en tube (exemple : Creamy de Catit)
  • Purée pour bébé au poulet
  • Bouillon de poulet ou de bœuf SANS SEL
  • Nourriture en conserve
    • Peut être placée dans une petite pochette à collation pour faciliter le transport et l’entrainement ou peut être congelée dans des jouets interactifs (exemple : Kong)

Pour éviter la prise de poids, si vous utilisez la nourriture de votre animal pour l’entrainer, réduisez la quantité de nourriture que vous lui donnez aux repas afin de tenir compte des calories supplémentaires consommées pendant l’entraînement. Si vous utilisez des friandises autres que sa nourriture, vous pouvez vous référez à votre clinique vétérinaire afin d’ajuster sa diète en conséquence, mais règle générale, les friandises devraient compter pour un maximum de 10% de la diète de votre animal.

Si votre animal a des allergies ou restrictions alimentaires, veuillez vérifier avec votre vétérinaire avant de donner de nouvelles friandises. Pour les chiens et les chats qui suivent un régime strict pour un problème médical (exemple : diète hypoallergénique), des variantes du régime de base peuvent être utilisées comme friandises pour l’entraînement (exemple : donner de la conserve de la même marque que ses croquettes). Si l’animal mange une diète composée de protéines hydrolysées, vous pourriez possiblement utiliser une marque différente de régime hydrolysé à titre de friandise par exemple si votre vétérinaire est d’accord. Parfois, les versions pour chats (croquettes ou conserve) peuvent même être utilisées pour l’entrainement des chiens. Plusieurs compagnies fabriquent également des friandises hypoallergénique et faciles à digérer qui sont appétentes pour les chiens et les chats.

Notre équipe